Le Premier ministre du Kosovo, Albin Kurti, à l'occasion de la Journée internationale des personnes disparues, a demandé l'ouverture des archives de l'État serbe sur les crimes commis contre les Albanais pendant la guerre au Kosovo, ainsi qu'un soutien international à cet égard.
Il a cité les paroles de Milosevic : "il n'y a pas de cadavre, il n'y a pas de crime", une stratégie qui, comme l'a dit Kurti, est toujours poursuivie par le gouvernement serbe, qui refuse d'ouvrir les archives.
"'Il n'y a pas de cadavre, il n'y a pas de crime', telle était la stratégie de l'État serbe pour cacher les crimes commis contre les Albanais du Kosovo. Cette stratégie continue d'être mise en œuvre aujourd'hui encore par les héritiers politiques de Milosevic à Belgrade", a déclaré Kurti.
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